La première fois, c’était pour rire. C’est ce que formulé Sonia, 25 ans, quand elle raconte comment elle a testé la voyance par SMS avec sa meilleure partenaire. Elles étaient en terrasse, entre deux cocktails, et ont départ chacune un thème précis différente. Légère, sans enjeu. Et toutefois, la réponse de Sonia l’a glacée. Pas parce que c’était grave, mais parce que ça mettait le miette pile sur un truc qu’elle n’avait pas présenté. Depuis, elle envoie un SMS assez souvent. Jamais sur une touche de traits, tout le temps dans les périodes où elle sent que des éléments coince. Elle n’en parle pas autour d’elle. C’est devenu de personnalité. Pour Gaël, 32 ans, on a la discrétion du format qui compte. Il est dans un un univers job exigeant, pas point de se tatouer vulnérable. même si il traverse des siècles de non sûr, il préfère écrire une problématique, dans le bien-être. Pas envie de justifier, absolument aucun besoin d’écouter un son. Il renvoie, il attend. Ce qu’il reçoit n’est pas tout le temps extrêmement distinct, mais ça l’aide à evoluer un curseur interne. Il formulé que cela vient notamment faire appel à un GPS lorsqu'on ne sait pas encore si nous pouvons ceindre ou poursuivre tout droit. Ce qui revient fréquemment, c’est la surprise. Personne ne s’attend formellement à être touché par un pratique SMS. Et cependant, dans cette brièveté, il existe une charge. Pas de mise en scène, pas d’ambiance, rapide une phrase, ou deux, qui arrivent de façon identique à un écho inattendu. Certaines individus l’effacent, d’autres la gardent finement. Camille, à savoir, conserve tous symboles reçus dans un dossier de son téléphone. Elle y retourne parfois, comme par exemple on relit un journal. Elle y voit une certaine catégorie de clef, des justifications qui prennent significations avec le temps.

tandis que on demande qui entourent soi si une personne a déjà testé la voyance par SMS, les explications se caractérisent en général comme floues, discrètes, parfois gênées. Pourtant, à poésie qu’on gratte un peu, les confidences survenant. Il contient celles qui l’ont acte une fois, pour voir, et ce que y reviennent, en vacarme, comme on consulterait un carnet religieux. Pas envie de courir partout, pas besoin de articuler à paroles bonne. Une sujet expédié. Une réponse qui revient. Simple, direct, presque privée. Mélanie, 27 ans, se souvient d’un dimanche où elle n’arrivait plus à gouverner ses doutes passionnés. Pas envie de déranger ses amies, pas le persévérance d’attendre un assemblée. Elle a envoyé sa question en une phrase courte, notamment on lance une bouteille à la mer. Ce qu’elle a fêté n’était pas spectaculaire, mais pile ce qu’elle avait besoin d’entendre. Depuis, elle utilise ce programme quand les pensées tournent en frisette. Pour elle, ce n’est pas de la magie, mais une astuce d'inclure un élément d’arrêt à ses propres craintes. Pascal, lui, a déclaré la voyance par SMS durant une période de transition spécialisée. Loin d’être convaincu au départ, il s’est laissé agacer un soir de ombre. Ce qui l’a surpris, ce n’est pas autant le contenu du message que la touche dont cela l’a acte penser différemment. Une phrase, une tournure, et il a envisagé une situation qu’il écartait jusque-là. il n'est pas tant une révélation qu’un coup de pouce de l'esprit. Depuis, il garde cette clé dans sa profonde, en tant sur le plan qu' un outil sobre. Certaines personnes trouvent le format frustrant. C’est le cas de Lucas, qui s’attendait à une solution plus inventée, plus étoffée. Son conscience est que les messages manquent parfois de profondeur. Mais il reconnaît que ça l’a en plus obligé à réaliser le tri dans ses exigences. À ne plus chercher un contact globale, mais une impulsion, un déclic. Il voit la voyance par SMS comme voyance olivier un coup de projecteur, pas de la même de mode qu'un diagnostic.